Je vous ai déjà dit combien j’aimais la photographie. 

Et depuis quelques temps, toutes les expos que je fais sont sur la photo. Ce n’est jamais fait exprès, plus comme si mes pas me ramenaient toujours à ça.

voici la première des 3.

Et c’est comme ça qu’avec Mage nous avons fait l’expo reporter sans frontière du petit palais. De Pierre et Alexandra Boulat.

Un moment intense et intime. 

Une belle composition dans l’espace où chaque spectateur se promène à son rythme à son grès au milieu  d’espace.

L’Afghanistan. Beau, couleur intense, durs visages marqués d’histoire.

Les bidonvilles. Nanterre hier et aujourd’hui Gaza. Intensité, solitude, désespoir digne, volonté farouche, violence.

Serbie. Paysages détruits et couleurs vives.

Et là au milieu de cette intensité qui vous saisit le cœur, de ces images qui vous prennent aux tripes, dont la force vous empêche de détacher les yeux…. Yves Saint Laurent… Son atelier, sa passion, l’élégance de son milieu, la beauté de la création.

Un mariage dans le Berry, joies et bonheurs simples pendant la reconstruction.

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Et pourtant. Et pourtant il y a cette harmonie au milieu de tout cela. Ce sont deux mêmes regards croisés, un père et une fille qui nous offrent  leur vision du monde, qui nous offre une émotion.

Pierre Boulat avait dit :

Si ta photo n’est pas assez intense c’est que tu n’es pas assez près. 

Ces 100 photos en témoignent : Lui et sa fille n’ont pas eu peur de cette proximité.